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kaikim67

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pure

Le tout-terrain semble à la mode ces temps-ci : MotorStorm, Baja, MX vs ATV... il serait logique d'ajouter Pure à la liste mais comme nous l'évoquions dans la preview, c'est définitivement du coté de SSX que Black Rock Studios semble puiser son inspiration.

Ca a l'air facile...

Des dénivelés vertigineux, des sauts stratosphériques, des tricks de l'espace... on reconnaît aisément les atouts de la série phare d'EA mais le simple fait de remplacer le snowboard par un quad implique évidement la notion de pilotage qui, malgré l'orientation radicalement arcade du jeu, recèle son lot de subtilités. Par exemple la "barre de sensation forte" qui s'alimente en réalisant des tricks (plus la jauge est pleine, plus les figures rapportent de points), mais se vide en utilisant le turbo.

Par exemple la "précharge", un petit geste technique permettant d'augmenter l'amplitude des sauts. Par exemple l'atterrissage qui tient compte du positionnement du quad (que l'on peut orienter en plein vol).

Mais surtout, il faut maîtriser les circuits, de véritables montagnes russes bourrées d'embranchements et de raccourcis, parfois difficiles à atteindre. Quand utiliser le boost ? La précharge ? Les deux ? Où peut-on sortir les figures spéciales ? Où peut-on couper ? La victoire dépend de ces choix, et de votre monture...

Sur mesure

Le mode principal se compose de 10 championnats comportant 3 à 7 épreuves chacun, avec à la clé une foultitude de pièces pour customiser son engin, tant en terme de performances (freinage, boost, vitesse, maniabilité...) que de look. Les fainéants peuvent néanmoins opter pour un assemblage automatisé selon deux profils types (vitesse ou acrobatie) correspondant aux trois types d'épreuves disponibles. On trouve le Sprint (5 tours sur de tous petits circuits quasiment dénués de sauts) et la Course (3 tours sur de longs tracés alambiqués) qui nécessite de finir premier, ainsi que le Freestyle (les mêmes tracés remplis de rampes et de bonus) tenant uniquement compte des points engrangés par les enchaînements de tricks.

Allo, Houston ?

Chaque épreuve s'aborde de façon très différente mais partage un point commun : on s'éclate. Pure se montre incroyablement jouissif. Visuellement, le titre est un plaisir constant : c'est magnifique, coloré, riche, varié, avec une profondeur de champ hallucinante. Le pilotage tout en dérapages contrôlés se révèle hyper intuitif, les sensations de vitesse ébouriffantes et on prend son pied à se propulser en orbite pour placer des tricks démentiels.

Quant aux circuits... rampes monumentales, virages relevés, terrains accidentés, gouffres à pic, larges étendus ou boyaux étroits : chacun d'entre eux ressemble à une petite ½uvre d'art, élaborée avec soin, dont on découvre progressivement les subtilités.

La difficulté qui s'ajuste au joueur (mais sans tricher – pas de boost miracle à la MotorStorm) assure un défi constant et les concurrents se comportent de façon réaliste. On regrette juste de ne pas pouvoir leur distribuer quelques mandales, façon Road Rash, et l'absence d'un mode Ecran divisé, mais les courses on-line assurent de grosses empoignades. Pour un coup d'essai, c'est un coup de maître.
un bon 16/20
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#Posté le samedi 04 octobre 2008 05:05

cossacks 2

test de micromania


Après nous avoir fait revivre les grandes batailles historiques des XVIe et XVIIe siècle dans son premier épisode, Cossacks II vous plonge au c½ur des guerres napoléoniennes. Au menu, des milliers de soldats prêts à en découdre pour votre unique plaisir.

Particulièrement attendu de la communauté des joueurs, voici que nous arrive le second épisode d'un STR dont le premier épisode a franchi le cap des 2,5 millions d'exemplaires vendus. Avec en toile de fond, les guerres napoléoniennes du XIXe siècle, le temps est venu de déguster ce que "possibilités toujours plus impressionnantes" veut dire chez CDV.

L'Europe à feu et à sang

Pour crédibiliser au maximum le contexte historique dont s'inspire Cossacks II, un gros travail a été fourni pour coller au maximum à la réalité. Bilan, chacune des six Nations (France, Angleterre, Prusse, Autriche, Russie et Egypte) se différencie par ses bâtiments et ses tuniques.

En plus du multijoueur et du mode escarmouche, sachez qu'un mode inédit type wargame, baptisé Conquête de l'Europe fait son apparition. Un mélange de tour par tour et de combats en "live". Quant au mode Campagne, il vous propose d'enfiler le costume d'un Général en soif de conquête.

Quand l'expérience fait la différence

Dès les premières missions, le ton est donné et la difficulté va crescendo. A la tête d'une petite armée de campagne, votre objectif est d'acquérir de l'expérience pour devenir un général respecté de tous. Après chaque victoire, ce sont des points d'expérience engrangés, avec à la clé, la possibilité d'encadrer de nouvelles unités et un plus grand nombre d'armées. Avec près de 140 unités différentes (infanterie, cavalerie, artillerie) aux spécificités propres, le joueur a le choix de la stratégie à mettre en ½uvre pour éliminer son adversaire. Des armées, qui après chaque victoire gagnent également en expérience et en moral. Une armée gonfle à bloc et dotée d'une bonne expérience au combat aura un avantage certain sur le champ de bataille. Reste qu'il convient d'être attentif au ravitaillement d'une armée partie en campagne, en veillant à avoir un approvisionnement suffisant. Un village capturé, ce sont des ressources en plus.

Des combats grandioses

Les combats sont très haletants. Une fois que chacune des lignes a tiré sa salve, le joueur peut opter soit pour un assaut à la baïonnette, soit pour une charge de la cavalerie, soit pour une attaque d'une seconde escouade. Reste qu'il faut gérer le temps nécessaire pour recharger les armes. Mieux ne vaut pas laisser une armée se déplacer seule. Tout ceci paraît extrêmement facile, mais imaginez lorsque vous avez sur un champ de bataille un total de 64 000 unités ! Pour vaincre l'ennemi, il va falloir être très imaginatif et désormais tenir compte du décor.

Une armée en embuscade dans un bois ne subira que de faibles pertes mais provoquera d'importants dégâts à l'armée adverse qui tenterait un assaut de front ; une unité d'artillerie placée en hauteur a une meilleure portée, etc. Pour apprécier le terrain de jeu modélisé en 3D, deux niveaux de zoom ont été intégrés : très utile pour apprécier le placement des troupes ennemies.

Un gameplay génial

Pour plus de profondeur du gameplay, la gestion des ressources a été liftée. Pour bien s'en sortir, il faut conquérir et tenir un maximum de village producteur de ressources (fer, or charbon, nourriture). Mais pour que ces ressources puissent être utilisées et transportées jusqu'à votre ville principale, la maîtrise des routes d'accès est indispensable sous peine de perdre les convois. Une technique efficace pour couper l'approvisionnement adverse.
Vous l'aurez compris, les possibilités sont énormes. En contrepartie, inutile d'espérer jouer avec un vulgaire PC de base. Prévoyez un monstre gavé en mémoire (1 Go de Ram est vivement conseillé) sous peine de vivre de longs moments de solitude devant un écran figé. Loin d'être citée en exemple, l'IA est parfois surprenante de bêtise ou très rusée à d'autres moments (bizarre, non ?)... Quant aux bugs, ils sont légion, un patch ne fera pas de mal. Bref, malgré un gameplay génial, Cossacks II n'est pas exempt de gros défauts qui viennent gâcher les festivités.

voila ma dernière acquisition je n'ai joué que 6h mais je mets déja un 15 car c'est de la pure stratégie comparable à la série des total war
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#Posté le jeudi 30 octobre 2008 08:39

quantum of solace

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test de micromania

Après le mythique GoldenEye de Rare, les aventures "ludonumériques" du moins secret des agents secrets ont rarement été à la hauteur. Avec Quantum of Solace, Treyarch et Activision semble bien décidés à inverser la tendance.

Quantum of Solace revient aux sources de GoldenEye, à savoir qu'il est un pur FPS. Il ne cherche jamais – à l'inverse de la période EA – à mélanger les genres. Il en résulte une meilleure cohérence des mécaniques de jeu et un sens plus aigu de l'immersion.

Rien que pour vos yeux

Quantum of Solace reprend la base de gameplay des deux derniers Call of Duty et l'adapte à l'univers 007. A cette base FPS solide, il ajoute un système de mise à couvert qui rappelle beaucoup Rainbow Six : Vegas. En gros, il est possible de se mettre à couvert en utilisant à peu près n'importe quel élément du décor. Dans ce cas-là, on passe en vue troisième personne ce qui donne l'occasion d'observer un Daniel Craig superbement modélisé.

L'espion qui m'aimait

Le découpage du jeu suit grosso modo la trame du film éponyme et y incorpore quelques moments de Casino Royale, le précédent long métrage. Pour le joueur cela signifie surtout qu'il est en face d'un James Bond plus réaliste qui n'est pas encore totalement le Bond que l'on connaît à partir de Dr. No. Logique, puisque Quantum of Solace, suite directe de Casino Royale, narre les aventures de Bond alors qu'il vient simplement d'obtenir sa licence 00. Ainsi, les gadgets sont les grands absents du jeu. Pas question d'utiliser la légendaire montre Omega multi-fonctions par exemple.

Il faut se contenter d'un simple téléphone portable qui, en plus de récapituler les objectifs de mission, permet de pirater le système de caméra de certains niveaux afin de fournir des informations sur les mouvements ennemis.

L'homme au pistolet d'or

Le jeu, comme les films dont il s'inspire, met donc l'emphase sur l'action. Au vu de l'expérience que le développeur a acquis avec Call of Duty 3, le rythme général oscille entre soutenu et frénétique. Certains passages très spectaculaires s'inscrivent d'ailleurs particulièrement bien dans la mythologie "bondienne". Pour autant, et même si le jeu ne pénalise pas vraiment l'approche frontale (hormis par un surplus d'ennemis), il est possible de la jouer agent secret et d'utiliser son Walter PPK silencieux pour progresser en mode infiltration. Dans ce cas-là, en plus du radical tir à la tête, il est possible d'assommer l'ennemi au moyen d'un QTE simple et dynamique. A cela s'ajoute quelques passages rappelant Metal Gear Solid et dans lesquels le joueur doit échapper à l'½il de caméras infrarouges. Quantum of Solace propose donc une variété bienvenue. Les fusillades elles-mêmes, du fait du système de mise à couvert, ne sont pas exemptes de stratégie. Il est parfois avantageux de prendre son temps plutôt que de foncer tête baissée comme un bulldozer. L'intelligence artificielle, sans être stupéfiante, a un comportement cohérent : les ennemis savent se cacher et sont même capables ponctuellement d'assaillir par le flanc la position du joueur.

Ce qui n'est pas sans provoquer quelques sueurs froides. La localisation des dégâts est une réussite : hormis la tête, il est possible de tirer dans les jambes pour faire tomber l'ennemi, dans les bras pour le désarmer ou dans la poitrine.

Pour résumer, Quantum of Solace est un FPS efficace et rythmé. A moins d'être réfractaire au genre, il est impossible de s'y ennuyer. Et s'il est certainement le jeu vidéo estampillé James Bond le plus réussi depuis GoldenEye, il n'arrive pas à surpasser son modèle, ni même vraiment à l'égaler. Il lui manque la petite étincelle d'originalité qui rendait son modèle si marquant. En l'état pourtant nul besoin de bouder son plaisir, il reste une expérience solide capable de combler sans difficultés les fans de 007 et les amateurs de FPS musclés. En somme, James Bond a accompli sa mission avec brio !

enfin un bon james bond . C'est sans doute le meilleur de la série avec goldeneye:au service du mal
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#Posté le vendredi 31 octobre 2008 05:21

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